En Calabre la nature ne connaît pas de hiérarchie. Tout être possède une âme. Pour s'en convaincre, il suffit de croiser le regard d'une bête, d'entendre le son de la charbonnière, qui est comme une voix, ou bien d'observer le flottement du sapin battu par le vent, qui appelle tout le monde à se grouper.